Démence sénile : 3800 pas par jour réduisent d’un quart le risque

La démence sénile est une maladie neurodégénérative qui touche de plus en plus de personnes âgées. Selon une étude publiée dans la revue médicale britannique The Lancet, marcher plus de 3800 pas par jour réduirait d’un quart le risque de développer cette maladie.

L’étude, menée par des chercheurs de l’Université de Newcastle (nord-est de l’Angleterre), a porté sur 2032 personnes âgées de 65 ans et plus, suivies pendant 10 ans. Les participants ont été divisés en trois groupes en fonction de leur niveau d’activité physique : sédentaire, modérément actif et actif.

Au cours de la période de suivi, 454 personnes ont développé une forme de démence, dont la maladie d’Alzheimer, la plus courante. Les chercheurs ont constaté que les personnes les plus actives avaient un risque de démence 25% plus faible que les personnes sédentaires.

Les participants qui marchaient au moins 3800 pas par jour avaient un risque de démence réduit de 35% par rapport aux personnes qui ne faisaient que 1000 à 2000 pas par jour. Les auteurs de l’étude estiment que cette différence représente « un effet important » de l’activité physique sur la santé cognitive des personnes âgées.

« Nos résultats suggèrent que les personnes âgées qui sont physiquement actives tout au long de la journée ont un risque plus faible de développer une démence sénile », a déclaré le Dr Klodian Dhana, principal auteur de l’étude.

« Les personnes âgées qui font de l’exercice régulièrement ont également un risque plus faible de développer une démence sénile, mais l’activité physique quotidienne semble avoir un effet plus important sur la santé cognitive », a-t-il ajouté.

Les chercheurs ont également constaté que l’activité physique n’avait pas d’effet sur le risque de développer une maladie neurodégénérative appelée démence vasculaire.

Introduction

La démence sénile est une maladie neurodégénérative qui touche de plus en plus de personnes âgées. Selon une étude publiée dans la revue médicale britannique The Lancet, marcher plus de 3800 pas par jour réduirait d’un quart le risque de développer cette maladie.

Les résultats de l’étude

L’étude, menée par des chercheurs de l’Université de Newcastle (nord-est de l’Angleterre), a porté sur 2032 personnes âgées de 65 ans et plus, suivies pendant 10 ans. Les participants ont été divisés en trois groupes en fonction de leur niveau d’activité physique : sédentaire, modérément actif et actif.

Au cours de la période de suivi, 454 personnes ont développé une forme de démence, dont la maladie d’Alzheimer, la plus courante. Les chercheurs ont constaté que les personnes les plus actives avaient un risque de démence 25% plus faible que les personnes sédentaires.

Les participants qui marchaient au moins 3800 pas par jour avaient un risque de démence réduit de 35% par rapport aux personnes qui ne faisaient que 1000 à 2000 pas par jour. Les auteurs de l’étude estiment que cette différence représente « un effet important » de l’activité physique sur la santé cognitive des personnes âgées.

L’activité physique quotidienne

« Nos résultats suggèrent que les personnes âgées qui sont physiquement actives tout au long de la journée ont un risque plus faible de développer une démence sénile », a déclaré le Dr Klodian Dhana, principal auteur de l’étude.

« Les personnes âgées qui font de l’exercice régulièrement ont également un risque plus faible de développer une démence sénile, mais l’activité physique quotidienne semble avoir un effet plus important sur la santé cognitive », a-t-il ajouté.

L’activité physique n’a pas d’effet sur le risque de développer une maladie neurodégénérative appelée démence vasculaire

Les chercheurs ont également constaté que l’activité physique n’avait pas d’effet sur le risque de développer une maladie neurodégénérative appelée démence vasculaire.

Conclusion

Les résultats de cette étude suggèrent que l’activité physique quotidienne a un effet important sur la santé cognitive des personnes âgées et que marcher plus de 3800 pas par jour réduit le risque de développer une démence sénile.